Les élèves qui optent pour les filières Latin-Grec ou Latin-mathématiques dans l'enseignement secondaire, ont plus de chance de réussir dans l'enseignement supérieur que les autres, écrit lundi "De Standaard".
Le journal se base sur une enquête du Centre pour la politique sociale Herman Deleeck, de l'Université d'Anvers, qui a étudié le taux de réussite en première année de l'enseignement supérieur. Les filles réussissent ainsi toujours mieux que les garçons, tout comme les élèves issus de milieux plus riches. Plus étonnant, la filière suivie en secondaire influence visiblement aussi la réussite. "Les filières traditionnellement plus strictes prépareront probablement mieux les élèves pour les études supérieures, ce qui augmente leur taux de réussite", analyse Bea Cantillon, directrice du centre. Sept élèves sur 10 ayant suivi les filières Latin-mathématiques, Latin-Grec, Grec-Mathématiques et -Sciences réussissent en première année de l'enseignement supérieur, contre seulement la moitié des élèves ayant opté pour des filières comme Economie-Langues modernes et Sciences humaines. (NLE)
Le journal se base sur une enquête du Centre pour la politique sociale Herman Deleeck, de l'Université d'Anvers, qui a étudié le taux de réussite en première année de l'enseignement supérieur. Les filles réussissent ainsi toujours mieux que les garçons, tout comme les élèves issus de milieux plus riches. Plus étonnant, la filière suivie en secondaire influence visiblement aussi la réussite. "Les filières traditionnellement plus strictes prépareront probablement mieux les élèves pour les études supérieures, ce qui augmente leur taux de réussite", analyse Bea Cantillon, directrice du centre. Sept élèves sur 10 ayant suivi les filières Latin-mathématiques, Latin-Grec, Grec-Mathématiques et -Sciences réussissent en première année de l'enseignement supérieur, contre seulement la moitié des élèves ayant opté pour des filières comme Economie-Langues modernes et Sciences humaines. (NLE)