Comment motiver un enfant à étudier?

TigerCat a écrit:
3) leur montrer une carotte pour qu'ils avancent...sans "récompense" ils seront peu motivés...

J'ai essayé avec du fric, cela marche du tonerre mais est-ce une bonne idée?

Ben voilà tiens... je voulais vous proposer une tite virée... spéciale neige... si tant est que tout le monde ait ses enfants, c'est bien plus gai... et si la neige persiste... mais chez moi il neige toujours ! d'où l'idée qui a germé en m'habillant...
Et puis ça empêche pas un pti visu entre nous... paskon a des choses à faire et à dire que c'est pas pour tous les noeils hein ! ni toutes les zoreils.. non non j'ai pas parlé d'orteils !

Tu habites loin?

Non pas vraiment... mais je propose pas ça chez moi hein ! c'est plus drôle si y a beaucoup de neige... chez moi ça va fondre... J'habite dans les bois au milieu des tartes... de Chaumont Gistoux ! Tu connais ?

Les tartes wiiiii
d'ailleurs c'est vachement bon

Moi je trouve que chez Aubane c'est un bon plan...
Je crois qu'elle a un feu ouvert ...
J'aime bien un bon feu de bois moi !

wééé... on ammènera les peaux de moutons

TigerCat a écrit:Moi je trouve que chez Aubane c'est un bon plan...
Je crois qu'elle a un feu ouvert ...
J'aime bien un bon feu de bois moi !

tu crois tu crois !!! fais l'innocent va !
et les peaux de moutons, j'en ai déjà deux !! ça tu savais pas hein ! mdr...

ça nous éloigne du sujet... pour la peau de Mouton, y a qu'à ouvrir un sujet ! (je fonce)

Sujet "peau" ouvert par Gottcha...
Revenons à nos moutons ... (facile aussi à placer celle-là)
Et à "comment faire étudier nos enfants..."

en jouant sur leur amour-propre pour les motiver ?

Hum... peut-être ...
pas encore certain...
que ça marche

faire intervenir une tierce personne pour comprendre les deux parties?

Comprendre les 2 parties... hum et si tu n'as personne sous la main comme tierce personne pour jouer à l'arbitre impartial?

Et puis, je ne suis pas certain que lui dire "si tu n'étudies pas tu resteras toute ta vie un idiot parmi les idiots..." est quelque chose qui va porter ses fruits ou le motiver à étudier, parce que justement il n'a pas pas encore la notion des "idiots"...

Ce n'est que bien plus tard qu'on réalise que ce beau petit "monde" qui vit dans notre société est hétéroclite... et qu'au lieu de se les rouler, on aurait mieux fait d'étudier ... :p

J'ai trouvé ça sur un site, cela m'a l'air pas mal comme conseil




Dans le domaine scolaire, il est important d’adopter face à l’enfant une attitude mesurée et de naviguer entre l’écueil d’une sur-stimulation artificielle (qui n’est le plus souvent qu’une manifestation de l’angoisse des parents) et un laissez-faire qui la plupart du temps, laisse l’enfant désemparé s’il n’est pas encadré.

Inspirez-vous donc des réflexions suivantes.

- Tout apprentissage doit venir en son temps. Sur ce plan également, il est nécessaire de respecter le rythme de l’enfant et d’éviter les apprentissages forcenés de notions que l’enfant (parce qu’il est le plus souvent docile) ne peut qu’apprendre par cœur sans pouvoir en saisir le sens. Vous risquez de l’écœurer et d’aller paradoxalement à rebours du bon sens (lorsqu’il aura acquis le degré de maturation nécessaire pour effectuer ces apprentissages, il n’aura plus envie de travailler...).

- Ce qui est valable pour le niveau de connaissances de l’enfant, l’est aussi pour ses capacités d’attention. Il est ainsi inutile de passer plusieurs heures journalières après la fin des cours pour aider votre enfant... Celui-ci, fatigué par sa journée de travail et limité dans ses capacités d’attention aura alors une vision particulièrement négative du travail.

- Il n’y a d’apprentissage que dans l’activité. Pour ce faire, il est absolument néfaste d’effectuer les devoirs de l’enfant à sa place. Il est au contraire nécessaire de se positionner comme "personne ressource", posant parfois certaines questions et aidant l’enfant à trouver lui-même les réponses.

- Il n’y a d’apprentissage que dans la confiance et le respect mutuel. N’oubliez pas que le travail scolaire de l’enfant est en quelque sorte son métier et transférez un instant dans le cadre professionnel (que faites-vous lorsqu’un patron vous harcèle de propos négatifs et dévalorisants, vous contrôle en s’efforçant toujours de relever vos insuffisances...). Or, pour nombre de parents, l’aide aux devoirs scolaires s’apparente à un long lamento. Il est pourtant essentiel que vous ne traitiez pas votre enfant de fainéant ou de nullité, que vous n’exprimiez pas vos sentiments de honte ou de colère. Ces principes sont parfois difficiles à appliquer car la blessure narcissique que nous renvoie l’enfant par ses difficultés scolaires peut être fort pénible pour certains parents. Adoptez donc une attitude adulte et positive en centrant vos conseils et critiques sur la tâche à effectuer et non sur la personne de votre enfant (au besoin faites appel à un répétiteur extérieur, à votre conjoint, à un grand-parent ou à un aîné par exemple...).

- Aider l’enfant à apprendre, c’est lui permettre de repérer les défaillances dans son propre système d’apprentissage. Ainsi, renvoyez toujours l’enfant à lui-même. Face à une difficulté, demandez-lui de trouver des solutions, d’émettre des hypothèses, d’expliciter les raisons de ses choix, de trouver une méthode de travail (bref d’adopter ce que l’on nomme en pédagogie une attitude métacognitive qui lui permette d’apprendre à apprendre...).

- L’apprentissage est un exercice d’endurance plus que de résistance : il est donc préférable de travailler régulièrement (cette pratique habitue de plus l’enfant à intégrer le travail comme une composante journalière). Profitez ainsi des jours de congé, des week-ends et des vacances pour maintenir un niveau minimal d’activité (une heure journalière par exemple) que l’enfant pourra structurer.

- Essayer de connaître de quelle façon votre enfant retient les informations (mémoire auditive ou/et visuelle). Ces indications vous aideront à faciliter son travail.

Kitty a écrit:Ils connaissent mes limites et j'ai l'impression qu'ils veulent tout le temps me faire sortir de moi.
Je me demande si la garde alternée n'est pas en cause

Leur arrive t-il de rester à l'"étude" pour étudier? A tester... Mon fils travaillait mieux avec un étranger. Le peu que je le laissais (à sa demande) à l'étude, quand il revenait, on verifiait juste ce qu'il avait fait, c'était moins stressant, il était même fier de l'avoir fait seul (enfin, aidé par le surveillant, motivé par les copains qui ont le même travail à effectuer) et de me le montrer...

Maintenant qu'il est à l'internat, y a plus de prise de tête. Sont hyper surveillés à l'étude, ont intêrêt à bosser à l'étude. Il est très fier d'obtenir de beaux résultats par lui même... oui, y a eu des petites prises de têtes en début d'année, mais avec le premier bulletins, il a compris, ils sont quand même contents quand ils rapportent de bons résultats..Enfin, normalement!

Veullez m'excuser : "arrivent ils" pardon!

oui ils vont à la garderie après la classe et ils sont sensés faire leurs devoirs pendant ce temps...
Mais j'avoue qu'ils sont rarement terminés quand ils rentrent à la maison...
En plus ma fille elle traine...elle traine...elle traine....
J'ai parfois envie de l'étrangler....

Bah, sur les trois, j'en ai une qui est une bête de travail, un qui est paresseux mais c'est une tête et la troisième qui n'est ni une tête et qui en plus est paresseuse ...

A force de me voir galérer pour y arriver, ils ont compris la nécessité de travailler, c'est ça le truc en fait, ils faut qu'ils comprennent l'utilité de ce qu'ils font mais en général quand leur franc tombe ... c'est déjà un peu tard.